Résumés
Abstract
This article revisits claims that it is possible to ‘hare authority' in the practice of oral history, with particular reference to disturbed and disturbing sites, in which witnesses have been marked by difficult times and may not ‘now what they will tell' the interviewer. It also explores reflections by anthropologists, ethnographers, and translators on the politics of such relationships.
Résumé
Cet essai revisite l’idée voulant qu’il soit possible de partager l’autorité dans la pratique de l’histoire orale, particulièrement lorsqu’il est question de sujets difficiles ou traumatisants ayant profondément marqué les témoins, qui ne savent alors pas quoi raconter à l’interviewer. Il explore les réflexions des anthropologues, des ethnographes et des traducteurs en regard de la relation entre l’interviewer et les interviewés.