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L’infini, l’inachevé et la clôture dans l’écriture proustienne : le cas de Mlle de Stermaria[Notice]

  • Enid G. Marantz
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Diffusion numérique : 29 mars 2006

URI
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DOI
https://doi.org/10.7202/035932ar adresse copiéeune erreur s'est produite

Un article de la revue Études françaises 

Volume 30, numéro 1, été 1994, p. 41–58
L’infini, l’inachevé

Tous droits réservés © Les Presses de l'Université de Montréal, 1994