Abstracts
Abstract
In St. Augustine’s doctrine of rhythm numerus manifests the metaphysical ascent from sensuousness to rationality and is the ontological root of finite beauty. Moreover, numerus is differentiated into the objective and subjective spheres, proving to be a totality, the “idea.” Meanwhile, as a formation of antique culture, this concept is not known as a real contradiction, and thereby eternal numeri are not posited as a process in which finite subjectivity, I would be a necessity for the infinite substance. So, in St. Augustine’s doctrine the essence of the science of music has not the value of man’s self-conscious activity.
Résumé
Chez saint Augustin le numerus sert de principe ontologique de la beauté finie en révélant l’ascension métaphysique du sensible vers l’intelligible. De plus, se divisant en sphères objective et subjective, le numerus s’avère être une totalité, « l’idée ». Toutefois, comme une forme de la culture antique, ce concept n’est pas connu comme une contradiction réelle, et ainsi les numeri éternels ne sont pas postulés comme un processus où la subjectivité finie, le moi, deviendrait nécessaire pour la substance infinie. Donc, dans la doctrine de saint Augustin, l’essence de la science de la musique n’a pas la valeur de l’activité humaine consciente de soi.