Abstracts
Abstract
Background: Problem-based learning (PBL) relies heavily on case structure for their success. To make more meaningful cases, faculty introduced a “case node” that requires students to make a group decision on the action they will take at a given point in the case. The purpose of this study was to determine whether case nodes enhance PBL discussions.
Methods: Two PBL cases were designed with and without a node. In 2011, 2012, and 2015, first-year medical students were assigned one PBL case with a node and one without a node. In total, 26 groups processed cases with a node while 27 groups processed the same cases without the node. All sessions were audio recorded and analyzed to determine the length and quality of discussions.
Results: Groups with a node, regardless of case (M = 25.62, SD = 12.25) spent significantly more time in discussion on the node topic than those without a node (M = 16.54, SD = 10.33, p = .005, d = .80). Groups with a node, regardless of case (M = 14.38, SD = 8.04) expressed an opinion significantly more frequently than those without a node (M = 6.07, SD = 5.80, p < .001, d = 1.19).
Conclusions: Case nodes increased both the length and depth of discussion on a topic and may be an effective way to enhance case-based instruction.
Résumé
Contexte : Le succès de l’apprentissage par problèmes (APP) repose en grande partie sur la structure des cas. Pour rendre les cas plus significatifs, les membres du corps professoral ont introduit dans les scénarios un « noeud », ou un point nodal, marquant un moment où les étudiants doivent prendre une décision de groupe quant à l’action à entreprendre. L’objectif de cette étude était de déterminer si les cas comportant de tels points nodaux amélioraient la discussion dans le cadre de l’APP.
Méthodes : On a conçu deux cas d’APP en deux versions, l’une comportant un noeud, l’autre non. En 2011, 2012 et 2015, on a soumis à des étudiants en première année de médecine un cas d’APP avec un noeud et un cas sans noeud. Au total, 26 groupes ont travaillé sur le cas avec un noeud et 27 groupes sur le cas sans nœud. Toutes les séances ont été enregistrées et analysées afin de déterminer la durée et la qualité des discussions.
Résultats : Les groupes qui ont travaillé sur un cas comportant un noeud, quel que soit le cas (M = 25.62, SD = 12.25), ont consacré significativement plus de temps à la discussion que ceux qui avaient un cas sans noeud (M = 16.54, SD =1 0.33, p = .005, d = .80). Les premiers ont également exprimé des opinions significativement plus fréquemment, quel que soit le cas (M = 14.38, SD = 8.04), que les seconds (M = 6.07, SD = 5.80, p < .001, d = 1.19).
Conclusions : Les noeuds introduits dans les cas ont entraîné des discussions à la fois plus longues et plus approfondies sur le sujet abordé. Par conséquent, ils constitueraient un moyen efficace d’améliorer l’enseignement fondé sur l’étude de cas.